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Ma 1ère Bécane
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Retour à Beauvais pour ces Photaumnales 2011.
La galerie de Simon Roberts m’a plut, traversant l’Angleterre en camping car, il s’est mit en tête de découvrir ce que veut dire d’être anglais aujourd’hui. Des images intéressantes de la vie de tous les jours et de beaux paysages. Mais si l’expo n’avait pas été en grand format m’aurait elle plut autant ?
Rip Hopkins s’est amusé à mettre en scène des anglais expatriés en Dordogne. C’est avec humour qu’il cherche à comprendre pourquoi comme il l’a fait lui même, ces gens ont quitté leur pays, pour soit découvrir que ses valeurs leurs manquent, soit qu’ils n’y remettront plus jamais les pieds.
Neal Slavin a aussi traversé l’Angleterre de 83 à 84 avec son Polaroid 20×24 pour tracer des portraits à l’allure très classique mais en fait très travaillés des anglais de toutes classe sociale. Le but étant de découvrir ce qui occupe les anglais aujourd’hui ?
Boule fraise
L’Angleterre et sa simplicité. On peut écrire ce que l’on veut sur cette grande île, la liberté et la simplicité qui y règne encore malgré une époque d’interdits, fait un drôle d’effet lorsqu’on se balade sur les plages du Kent.
Les yuppies en week end délaissent cravates et portables pour des tenues plus grunges, on s’installe tranquillement sur le sable, les bières et le barbecue portable prêts à servir. Les petits bateaux accostent pour déposer quelques nageurs. La tranquillité et la simplicité envahit les lieux. On respire, le temps d’un après midi, ensoleillé ou nuageux, peu importe. Installé sur la chaise pliante, on s’évade vers l’horizon marin, fait d’éoliennes ou de supers tankers. Peut être même qu’on pense à quitter le pays. Pour mieux y retourner ensuite ? Y aurait il encore un souffle de liberté dans ce monde tronqué par l’idiotie de nos gouvernements absurdes ? Ici sur les rives du Kent, mais chut, faites que ça ne se sache pas trop.
À cloche-pied vers le ciel
Javoue ne plus me rappeller les règles de ce jeu. Où sont les souvenirs d’enfance ? Dans quel tiroir du fond de ma mémoire ? Il arrive parfois que l’un d’entre eux resurgisse, à travers une image, une musique, le réflexe est de s’écouter penser « Ah mais oui
Colmar
Colmar et ses multiples facettes, j’etais entrain de lorgner sur cette petite place lorsque j’ai vu le vélo arriver dans mon viseur, il est devenu le petit truc en plus qui aurait manqué 2 secondes avant.
Parce qu’on vient et on part
Parce qu’on vient et on part, première mise en ligne par Mandr@gore.
Sur la lancée de mon intérêt pour les bancs publics, je m’étais accroupis sans avoir une idée très précise de ce que j’allais faire. Cette dame avec son parapluie est passée à ce moment là, j’ai juste eu le temps de faire la mise au point sur le 2ème banc et cadrer la passante, avant qu’un joggeur n’entre dans le champ.
Ooops !
Les Tuileries était un palais dont la construction commença en 1564 sous l’impulsion de Catherine de Médicis, à l’emplacement occupé auparavant par des fabriques de tuiles. D’où le nom.
Les communards le brûlèrent plus tard. Depuis, le Louvre est ouvert sur le jardin par l’Arc de Triomphe du Carrousel.
Photos du tour de France
Lance Armstrong, on aime ou on aime pas… Loin de la polémique il n’en reste pas moins que l’équipe dans laquelle il roule cette année (Radioshack) a crée un photo blog intéressant relatant chaque étape du tour de France.
Je ne sais pas vous, mais moi je raffole de ce type de photo « behind the scene », comme celles ci lors du prologue, bien sûr les clichés sont purement axés sur la team de Lance, mais celles ci sont accompagnés d’un résumé de l’étape écrit par Chris Brewer où il s’amuse souvent à décortiquer l’univers du monde des coureurs que l’on ne voit que trop rarement cité à la tv.
Of course, sur le site du Tour de France 2010 on peut trouver pas mal de choses intéressantes, mais la vidéo y est essentiellement privilégiée, dommage pour les fanas de photo !
A demain coquelicot…
A demain coquelicot… , première mise en ligne par rikyu.
Nous sommes à la fin juin 2010, l’été a beaucoup tardé, il y a une semaine nous avons faillit remettre du bois dans la cheminée tant nous avions froid.
Ce soir il fait une chaleur étouffante, la nuit tombe et pourtant les bourdons s’en donnent à coeur joie de fleurs en fleurs, tout à l’heure un animal très vif et d’une taille imposante à traversé devant moi, mais impossible de le reconnaître. Un renard peut être, mais alors il était bien gras.
J’aime ce genre de ciel exempt de toute trace d’avion, un ciel naturel comme ceux qu’on pouvait certainement voir il y a des siècles.
Depuis quand le coquelicot existe ? Les premiers hommes l’ont ils vu ? Aujourd’hui la rumeur court que la fleur rouge devient rare. « On en voyait plus sur les routes ». Moi je ne sais pas pourquoi on en voit plus au bord des champs de blé que près des autres champs. Tiens pourquoi lorsqu’on en cueille un les pétales tombent ?
On peut s’en poser bien des questions lorsqu’on essaie de prendre le portrait d’un coquelicot…
Et si je retournais voir si il est toujours là ?
Petite pause avant le sommet
Un petit cliché pris en ce modeste printemps tout frais et tout timide. La macro j’aime beaucoup, (ici c’est du proxi pas encore de la macro) faite avec le 50mm 1.8, j’adore cet objectif, sa grande ouverture permet des fonds d’un velouté à se lécher les babines. J’ai pris grand plaisir à pouvoir le sortir un peu.
Le destin des cabines rouges
Après s’être attaqués aux bus rouges, les anglais avaient décidé de faire disparaître les fameuses cabines rouge, pour les remplacer par les affreuses cabines en métal que nous connaissons malheureusement bien en france.
Heureusement grâce à l’arrivée du portable, des passionnés se sont mobilisés pour que la razzia s’arrête et que chaque village garde au moins une cabine. Même que certains villages, qui avaient boycottés ces « affreuses » cabines se sont mis à les repeindre de la bonne couleur !
Mandragore Blog 